Marie Callens Sophrologue

🌡️ Le violentomètre, est un outil, c’est aussi un réveil.

Il y a des "trucs" qu’on sent. Des regards, des remarques, des gestes…

Mais qu’on n’ose pas nommer, pas vraiment, parce qu’on doute.

Parce qu’on se dit : "C’est pas si grave."

Et puis un jour, on tombe sur le violentomètre. Et là, ça fait tilt.

🎯 Ce petit outil visuel montre noir sur blanc ce qui relève du respect… ou pas.

👉 Il classe les comportements, du plus doux au plus toxique.

Pas besoin d’avoir fait psycho pour piger.

Tu regardes, tu lis, tu comprends.

Tu te dis : "Ah ouais, en fait… c’est pas normal."

🧠 Dans les groupes de parole, les ateliers, même au boulot :

le violentomètre sert de point de départ.

Pour parler. Pour ouvrir des yeux.

Et pour que chacun puisse poser ses limites sans culpabiliser.

💬 C’est aussi un super déclencheur de discussions.

On peut l’utiliser avec des ados, des adultes, en couple, en famille…

Et quand la parole circule, les choses bougent.

C’est pas magique, mais c’est un pas.

Moi, je m’en sers dans mes accompagnements.

Je le combine avec la sophrologie, l’art-thérapie ou l’hypnose et ça change vraiment quelque chose.

Quand la violence devient visible, elle perd un peu de son pouvoir.

🌈 Alors oui, on peut faire autrement, et ça commence par ça : reconnaître ce qui fait mal.

👉 Tu veux voir à quoi ça ressemble ? Je mets le lien :https://www.marie-callens.fr/service/document/document/9a6ec9b0-476b-11f0-96a3-17bd4ed0f4e3.

Tu verras, c’est simple. Et puissant.